Ces journalistes ont été arrêtés, il y a près d’un mois, alors qu’ils couvraient une incursion de rebelles burundais, en provenance de la RDC voisine. Ils sont inculpés de « complicité d’atteinte à la sûreté de l’État ». Plusieurs organisations de défense des journalistes ou des droits humains ont déjà appelé à leur libération.
Ils ont fait ce que font les bons professionnels, ils sont allés sur le terrain.
Antoine Kaburahé, fondateur du groupe Iwacu aujourd’hui en Belgique