Le principal parti d’opposition interne au Burundi, dirigé par Agathon Rwasa, évoque la multiplication des violences politiques à l’encontre de ses militants, à six mois des élections générales de 2020, dont une présidentielle, à laquelle le président Pierre Nkurunziza a promis de ne pas se représenter.
Les responsables des actes ignobles commis sont généralement des responsables politiques.
Simon Bizimungu, secrétaire général du Conseil national pour la liberté