La polémique bat se plein après la décision du Conseil national de la communication, un organe gouvernemental de régulation des médias, d'imposer un contrôle strict des médias durant les élections de mai 2020. Deux médias indépendants tentent toutefois de résister en ne signant pas le code.
Des organisations de la presse burundaise en exil dénoncent un code « liberticide » qui vise à embrigader les médias, alors que les responsables de médias proches du pouvoir se réjouissent d'un texte qui empêchera à certains de donner des résultats fantaisistes.
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