Aujourd'hui, 1er octobre, les opérations de rapatriement forcé des réfugiés burundais de Tanzanie devaient commencer. Les 180 000 réfugiés burundais de Tanzanie, dont la très grande majorité refuse d'être rapatriée disant craindre pour sa sécurité, ont eu l'espoir durant toute la matinée que le gouvernement tanzanien avait renoncé à leur forcer la main. Mais le répit a été de courte durée.
Il n'y a pas eu de convoi vers le Burundi ce mardi matin, et aucune liste publiée non plus jusqu'à la mi-journée. Les réfugiés burundais ont cru au miracle pendant quelques heures, mais ils ont v...