En Tunisie, cinq jours après le premier tour de l’élection présidentielle, l’heure est aux tractations. Si le candidat emprisonné Nabil Karoui a enregistré peu de soutiens officiels des candidats vaincus, en revanche Kaïs Saïed engrange les ralliements. Dernier en date, celui d’Ennahdha.
Sans grande surprise, le parti d’inspiration islamiste va soutenirContinuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE