La Fédération de l’opposition congolaise dirigée par Claudine Munari est montée au créneau samedi 31 août à Brazzaville où elle a exigé la libération avant la présidentielle de 2021 de Jean-Marie Michel Mokoko et d’André Okombi Salissa, deux candidats malheureux au scrutin présidentiel de 2016, jugés et condamnés à 20 ans de travaux forcés chacun notamment pour atteinte à la sécurité intérieure de l’État.
Face à la presse Claudine Munari a dit que la frange de l’opposition qu’elle dirige a des conviction...