Trois jours après la frappe aérienne qui a fait au moins 53 morts dans un centre de migrants en Libye, le Conseil de sécurité de l’ONU a finalement adopté ce vendredi 5 juillet une déclaration commune pour appeler à un cessez-le-feu dans le pays. Mercredi, les États-Unis avaient mis leur veto à une condamnation du carnage par les Nations unies.
Il aura fallu trois jours au Conseil de sécurité de l’ONU pour arriver à une position commune. Dans une déclaration ce vendredi en fin de journée, les 15 membres ont appelé à un cessez-le-feu immédiat en Libye.
Ils ont également condamné les raids aériens de ce mardi soir 2 juillet, qualifiés de Continuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE