En Algérie, en début de semaine, les organisations de la société civile se mettaient d'accord pour une « transition de six mois à un an ». Cette fois ce sont les partis d'opposition démocratiques qui se réunissent. Et c'est une première depuis le début du mouvement populaire il y a 4 mois. Alors que le processus démocratique amorcé par le départ d'Abdelaziz Bouteflika est dans l'impasse, sept formations politiques d'opposition ont signé, mardi 18 juin, l'appel aux forces de l'alternative démocratique. Le Front des forces socialistes (FFS), le Rasse...