En RDC, on assiste depuis l’investiture de Félix Tshisekedi comme président de la République à quelques redditions des miliciens des plusieurs groupes armés. Mais le dispositif d’encadrement des ces combattants tarde à se mettre en place. Au Sud-Kivu par exemple, Alphonse Kabishula, chef des Mai-Mai Ngabito, s’est plaint publiquement de la prise en charge de ses hommes par les autorités du pays.
Ils sont environ 600 à s’être rendus aux Forces armées de la RDC. Ils sont cantonnés depuis presqu...