Les nouveaux dirigeants militaires ont sommé lundi 22 avril les manifestants de démanteler les barrages devant le QG de l'armée à Khartoum. Mais les militants, qui continuent de réclamer un transfert du pouvoir aux civils, n'ont pour l'instant pas bougé. Les tensions se sont amplifiées après la suspension des discussions entre les deux camps dimanche soir. Que s’est-il passé ?
Les partis d’opposition ont renoncé dimanche soir à présenter un gouvernement civil. Ils en imputent la responsabilité au Conseil militaire de transition avec lequel Continuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE