En Algérie, ce vendredi 5 avril est la première journée de mobilisation depuis la démission du président Abdelaziz Bouteflika mardi soir. Une journée test pour les autorités.
Une démission, une lettre d’excuse, de premières mesures d’ouverture annoncées pour les associations et les syndicats. Il y a eu du changement et des gestes d’apaisement cette semaine. Désormais vitrine du nouveau pouvoir, le chef d’état-major, Ahmed Gaïd Salah, a affirmé qu’il fallait privilégier la solution constitutionnelle.
Il s’est attaqué aux hommes d’affaires, des cercles pro...