Ce lundi 18 mars, un expert en sécurité informatique doit témoigner devant le tribunal militaire dans le cadre du procès du coup d’Etat manqué de septembre 2015. Au centre des débats : l’authenticité des écoutes téléphoniques qui avaient révélé des conversations entre Djibrill Bassolé, l’ex-ministre des Affaires étrangères et Guillaume Soro, l’ancien président de l’Assemblée nationale ivoirienne. Mercredi dernier, à la barre, Chérif Sy, l’ancien président de l’Assemblée de la transition, aujourd’hui ministre de la Défense, a affirmé que Guillaume Soro avait reconnu le contenu des conversations téléphoniques. Le porte-parole de Soro a rej...