Après l'annonce du président Bouteflika lundi de renoncer à un cinquième mandat et d'annuler la présidentielle prévue le 18 avril, le patronat algérien est divisé. Le président du FCE, le Forum des chefs d'entreprises, avait officiellement soutenu cette nouvelle candidature suscitant plusieurs défections dans ses rangs. Aujourd'hui, certains entrepreneurs algériens aspirent à un renouveau au sein de leur organisation, jugée trop proche du pouvoir en place.
Cette chef d'entreprise, comme tous ceux contactés par RFI, ne veut pas prendre le risque de parler au micro ni d'afficher ses convictions politiques. « Pour préserver notre activité et nos emplois&nbs...