Deux semaines après l’état d’urgence décrété par Omar el-Béchir, de nouvelles manifestations ont eu lieu jeudi 7 mars dans la capitale Khartoum. La mobilisation est un peu plus faible, mais des centaines de Soudanais ont tout de même bravé l’interdiction. D’autant plus que la semaine dernière, huit personnes ont été condamnées à plusieurs années de prison pour participation à ces manifestations désormais interdites.