En Algérie, après les manifestations inédites du vendredi 22 février 2019 contre un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, des partis politiques ont réagi. L’opposition dans son ensemble salue les manifestants. Le FLN, le parti au pouvoir, dénonce en revanche une volonté de semer la discorde dans le pays.
Dans l’opposition, on salue unanimement les manifestants, en soulignant que tout s’est globalement passé dans le calme. Mais les positions divergent.
Ali Ghediri, ancien général candidat à l’élection, est prudent. Il écrit : « Il appartient aux autorités de se hisser au niveau de conscience politique dont le peuple a fait ...