Dans un communiqué, samedi 23 février, la Commission électorale congolaise s’est dite consternée par les accusations de corruption portées par les Etats-Unis contre cinq responsables liés à l’organisation des élections.
Dans un communiqué, le rapporteur de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) congolaise « rejette toutes les allégations de corruption et de violations des droits de l’homme, d’abus ou atteinte à la démocratie ». Jean-Pierre Kalamba se réjouit au contraire de l’organisation des élections du 30 décembre 2018 qui ont permis, selon lui, « le transfert pacifique, démocratique, mais aussi historique du pouvoir ».
Vendredi, Washington a annoncé avoir pris des sanctions...