En Côte d’Ivoire, les syndicats du primaire et du secondaire sont en grève depuis près d’un mois et ils ont suspendu les négociations entamées ce lundi 18 février avec le gouvernement. Un geste de solidarité envers deux de leurs confrères du supérieur arrêtés puis incarcérés mardi soir. Selon leur avocat, ils sont accusés de trouble politique, trouble à l’ordre publique, séquestration, menace et injure, suite à une altercation avec le président de l’université F&eac...