Les cas les plus récents remontent à dimanche 31 mai, où deux personnes ont été abattues dans un fusillade nocturne au quartier Limbaseke et une autre s’en est sortie avec des blessures.
A Lusangi, des sources locales signalent des viols sur des femmes et des filles par des personnes armées non autrement identifiées. Une psychose généralisée s’observe à Salamabila, en particulier, et dans le territoire de Kabambare, en général.
A l’unanimité, les associations et ONG locales demandent au gouvernement tant provincial que national, de se pencher et revoir profondément la situation qui prévaut dans ce territoire au Sud-Maniema, où les armes légères pullulent.
Ce regain d’insécurité est également confirmé par les autorités locales qui déplorent elles aussi l’effondrement de la situation.