A en croire ces sinistrés, la décrue des eaux du fleuve Congo les motivent à solliciter le concours des services techniques de l’Etat.
Une opportunité que tentent de saisir les victimes pour rebâtir de nouvelles maisons d’habitations alors que le fleuve Congo est en train de retrouver son lit. Une tâche rendue difficile tout même à cause de la disparition des plusieurs traces d’identification d’anciennes parcelles.
"Beauco...