Dans un communiqué publié jeudi 26 mars à Kinshasa, le président cette dynamique, Jean Chrysostome Kijana, a déclaré que l’état d’urgence n’est pas synonyme de l’arbitraire, ni de violation des droits humains, encore moins de détournement des fonds publics.
Il a également proposé que tous les éléments déployés sur le terrain, agents de sécurité ou des services techniques, soient munis des ordres de mission dument signés par leur hiérar...