Cette catégorie d’enfants s’illustre par plusieurs actions dont le vol, les menaces, l’extorsion des biens et autres. Ils squattent souvent au rond-point Monalux, au grand marché de Katoka et à celui de Ndesha vers les rails.
Le coordonnateur provincial de l’ONG Ligue des droits de l’enfant (LIZADEEL), Jean-Malhys Lungala, s’est dit préoccupé par cette situation et appelle l’Etat à prendre ses responsabilités pour mettre fin à ce phénomène « enfant de la rue », qui prend de l’ampleur à travers la ville.
Pour sa part, la ministre provinciale du Genre, Famille et Enfants, Sylvie Kafunda, a attribué ce phénomène à la pauvreté, accentuée par crise sécuritaire qui a secoué la région.
Elle a assuré que l’exécutif provincial va bientôt prendre une série de mesures pour résoudre cette question ; avant d’inviter les parents à poursuivre l’encadrement de leurs enfants, malgré la conjoncture difficile.