« Il faut un d’abord d’éviter de politiser ces entreprises-là en nommant des gens qui n’ont pas la technicité. Il faut nommer les managers, les gens qui ont l’expérience, il faut mettre en place un criterium qui définit porto robot de ceux qui doivent occuper les fonctions dans plusieurs entreprises de l’Etat », a plaidé Henry-Thomas Lokondo.
Selon lui, quelqu’un qui a été condamné ou un ancien détenu ne devraient pas être nommé. « Quelqu’un qui a été reconnu comme ayant détourné quelque part comment vous pouvez le nommer ? Quelqu’un qui n’a jamais eu à travailler quelque part, qui n’a jamais géré même deux personnes dans sa vie comment vous pouvez le nommer directeur général ? », s’est-il interrogé.
En outre, il dit ne pas comprendre comment que le conseil d’administration de la Gécamines, par exemple, soit constitué à quasi-totalité de ressortissants d’une même province :
« Je voudrais que les amis qui ont toujours l’habitude défendre l’indéfendable, de justifier l’injustifiable, puisse me dire comment dans une entreprise qui est nationale comme la Gécamines et la SNCC sur 9 membres du conseil d’administration, à la Gécamines par exemple 8 sont tous de Katangais, à la SNCC la même chose. Le président de la République, de part ces ordonnances, donc a décrété, a donné à ces entreprises le statut des entreprises provinciales privatisés ? »