Plus de 60 centres de santé sont fermés depuis le samedi 15 février dans la cité de Ngandajika, dans la province de Lomami. Ces centres fonctionnent de manière anarchique.
D’après l’administrateur du territoire Alexandre Kayumba, de nombreux malades meurent après avoir reçu des soins administrés par un personnel non-qualifié œuvrant dans ces structures ‘’non viables.’’
Pour sa part, le gestionnaire de l’hôpital général de référence affirme que l’hôpital accueille régulièrement des malades en état critique longtemps gardés dans des structures privées de la cité de Ngandajika.