La première attaque s’est déroulée vers 15 heures locales au village de Kalongo.
Des sources sécuritaires indiquent que ces hommes armés identifiés aux miliciens Maï-Maï ont pris pour cible tous les symboles de l’Etat et à ses agents.
« Ils ont ouvert le feu sur une position de la police qui a été incendiée. Deux policiers ont été tués sur place. Trois autres ont réussi à s’échapper », renseignent-elles.
La deuxième attaque a été déplorée dimanche 19 janvier au village de Mahu. Un agent de service de renseignement civil a été sauvagement abattu par ces hommes armés.
Ces derniers ont également incendié la position de la police locale sans faire des victimes.
Ces deux attaques ont entrainé le déplacement massif de la population dont certains ont trouvé refuge à Makumo où il y a une forte présence des FARDC.
Le commandant des FARDC ne s’est pas encore prononcé sur des dispositions prises pour mettre fin à l’activisme de ces miliciens dans la zone.