Ils soutiennent qu’ils n’ont plus confiance à la Présidente de l’Assemblée provinciale.
« Il ne lui appartient plus de décider. Elle peut rester dans son bureau et préparer ses valises », déclare l’un d’entre eux.
De son côté, Augustine Dako affirme qu’il s’agit des provocations pour créer des troubles au sein de l’Assemblée provinciale.
« Ils veulent provoquer un incident et créer des dégâts, ces députés provinciaux qui manifestent », se plaint-elle.
A cause de ce climat, les activités restent paralysées à l’Assemblée provinciale du Bas-Uélé. Les séances plénières convoquées depuis le début de semaine n’ont pas eu lieu à Buta.
Mais les députés du Bas-Uele demandent au vice-président de convoquer la plénière. Pourtant, le vice-président est poursuivi par la justice pour « une affaire d’argent des députés provinciaux. »