Selon lui, ces déplacés qui proviennent des villages de Oicha, Mbau, Mayi moya et Eringeti sont majoritairement constitués de femmes et d’enfants.
Ces déplacés sont hébergés dans des familles d’accueil et d’autres occupent des maisons abandonnées ou passent la nuit à la belle étoile.
La société civile redoute la propagation de certaines maladies, dont l’épidémie à virus de Ebola.
Face à cette situation, elle lance un appel au gouvernement et aux humanitaires de venir en aide à ces déplacés.