Plusieurs quartiers sont coupés du reste de la ville, ce qui perturbe les activités scolaires et socio-économiques.
A Mobayi-Mbongo, par exemple, des malades à l’hôpital général, sous eaux, s’entassent au risque de contamination mutuelle, redoute un habitant.
La plupart des paysans – riverains de l’Ubangi, de Yakoma à Dongo – ont carrément abandonné leurs habitations et champs. Conséquence, des écoles ont fermé et la plupart des ménages sans abris font face actuellement à une pénurie de vivres.
De son côté, le président du cadre de concertation de la société civile du Nord-Ubangi, Taylor Tayima, regrette que les autorités provinciales et nationales restent soudes à leurs difficultés