La société civile du groupement d’Ikobo, à cheval entre le territoire de Walikale et le sud de Lubero (Nord-Kivu), a condamné vendredi 6 septembre des violations de droits humains perpétrées par certains membres des services de sécurité basés à Buleusa, contre la population civile. Celle-ci dit vivre, ces deux derniers mois, le même calvaire qu’à l’époque d’un certain colonel autoproclamé Kizito.
Arrestations arbitraires, détentions illégales suivi d’amendes exorbitantes, travaux forcés et extorsions sont de plus en plus fréquents ces deux derniers mois, indique la société civile d’Ikobo. A titre d’illustration, dans la localité de Rusamambo...