L’insécurité touche plus la femme, estime une des participantes, Gladys Mukongya. C’est pour cette raison que « la femme doitd’abord dénoncer les cas des violences, mais aussi être capable de résoudre les conflits entre la population, elle peut utiliserdes stratégies qui sont simples, (…) je dirais la conciliation entre les groupes en conflits », poursuit-elle.