Le délai de 8 jours qu’accorde la loi électorale pour que les élus frappés par les incompatibilités liées au cumul de fonctions puissent choisir l’une des fonctions a expiré jeudi 21 février à minuit.
Ces élus devraient opérer leur choix entre leur mandat électif dans les nouvelles assemblées et les fonctions jugées incompatibles qu’ils occupent dans le gouvernement central, les assemblées provinciales et dans d’autres institutions du pays.
Jusque jeudi soir beaucoup tardaient encore à se prononcer.
Cependant, le greffe du Conseil d’Etat a réceptionné de son côté une requête en interprétation de la loi dont l’auteur est le vice-premier ministre José Makila concerné par ce cas.