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« Le Barça ne fait plus peur »

Prochain adversaire du PSG en huitièmes de finale de la Ligue des champions, le Barça connait un début de saison particulièrement compliqué. Sur le terrain comme en coulisses. De quoi inciter Omar Da Fonseca à se montrer confiant pour le PSG.

La cinquième confrontation face au Barça sera-t-elle la bonne pour le PSG version QSI ? Car si le club de la capitale avait su éliminer l’ogre catalan au printemps 1995, les Parisiens restent sur quatre échecs consécutifs face aux Blaugrana depuis l’arrivée des propriétaires qataris. Des échecs qui ont parfois marqué les Rouge et Bleu au fer rouge à l’instar de la remontada de 2017.

Le PSG a donc de quoi être inquiet à deux mois des retrouvailles face au club catalan. Et ce d’autant plus que les champions de France en titre, diminués par de nombreuses blessures, se montrent particulièrement inconstants depuis le début de saison. Les finalistes e la dernière Ligue des champions ont ainsi dû attendre la dernière journée de la phase de poules pour valider leur qualification et n’émargent qu’à la troisième place du podium en Ligue 1.

S’il faut sortir un favori, c’est Paris

Mais la situation est encore plus compliquée pour le Barça, qui a dû se contenter de la deuxième place de son groupe en Ligue des champions pour la première fois depuis 13 ans et ne pointe qu’à la huitième place en Liga. Grand spécialiste du football espagnol, Omar Da Fonseca dresse d’ailleurs un constat implacable. « Le Barça joue mal, le Barça ne fait plus peur, le Barça ennuie, le Barça ne marque pas… Toutes les carences sont amplifiées. Tout le monde est en dessous », a ainsi lancé le consultant beIN Sports dans les colonnes du Parisien.

« Personne ne sait ce qu’il se passera en février. Mais dans l’état actuel des choses, si vous me dites que ce seront les mêmes joueurs, dans les mêmes conditions, je ne veux pas parler de faux choc entre le PSG et le Barça mais s’il faut sortir un favori, c’est Paris », a-t-il renchéri, pointant notamment du doigt les carences offensives des hommes de Ronald Koeman : « Aujourd’hui, il y a de la passivité, tout est prévisible, on s’endort. Griezmann, Messi, Coutinho… Personne ne peut dire que ces trois joueurs sont mauvais. Mais je pense, et je ne suis pas le seul, que les trois sont incompatibles. »

 

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