Football.fr Publié le 29/06/2019 à 00h36, Mis à jour le 29/06/2019 à 01h38 Avant d’enflammer le Parc des Princes en seconde période, l’équipe de France a longtemps peiné offensivement, à l’image d’Eugénie Le Sommer, lors du quart de finale perdu contre les Etats-Unis (1-2), vendredi soir. Bouhaddi (5)La gardienne des Bleues a tout connu sur ce match. Elle est surprise d’entrée sur le coup franc excentré de Rapinoe (5e) et certains lui reprocheront son mur de deux joueuses. Elle est aussi perdue sur le 2e but américain (65e). Elle a néanmoins réalisé une bonne sortie en dehors de sa surface (16e) et un double arrêt dès la reprise (46e). Torrent (4)Elle a été beaucoup sollicitée défensivement en début de match, puisque les Américaines ont insisté sur ce côté en jouant avec l’intenable Rapinoe. Elle a souffert et, offensivement, elle n’a pas eu l’occasion d’apporter le danger. Mbock (4,5)Son début de match est complètement raté. Elle a provoqué le coup franc qui permet à Rapinoe d’ouvrir le score, écopant d’un avertissement au passage (4e), avant de rater une intervention un peu plus tard (12e). Elle a ensuite pris le dessus sur Alex Morgan durant tout le reste de la rencontre. Renard (6)Son but de la tête a complètement relancé les Bleues avant les 10 dernières minutes. Elle s’est régalée sur les ballons aériens des Américaines, mais elle est un peu passive au début de l’action sur le 2e but adverse (65e). Majri (5,5)Dans son couloir gauche, elle a de nouveau fait parler sa technique, en combinant avec ses coéquipières et en réalisant deux bons centres, pour Le Sommer (12e) et Diani (45e+1). Elle ne s’est pas ratée sur les rares interventions défensives qu’elle a eu à faire. Bussaglia (6)Dans sa position de numéro 6, la joueuse de 33 ans s’est bien battue à la récupération. Elle a joué simple à la relance en alertant plusieurs fois Majri et en participant pleinement au temps fort de son équipe en début de seconde période. Henry (6)Une prestation contrastée. La capitaine tricolore a été très forte à la récupération, et ce dès l’entame de la partie, et a mené la révolte après la pause en tentant sa chance à plusieurs reprises de loin. Dans ses passes, elle a néanmoins manqué de précision ou d’inspiration, en ne trouvant pas les bonnes ouvertures. Diani (5)Repassée sur l’aile droite pour ce quart de finale, l’attaquante du PSG a de nouveau semé la zizanie en percutant ballon au pied (8e, 18e, 32e), mais sans provoquer de véritables actions. Elle fut bien moins précise dans ses transmissions. Son vis-à-vis, Crystal Dunn, très rapide, l’a contenue à plusieurs reprises, comme sur un ballon en profondeur à l’heure de jeu (59e). Thiney (5,5)De retour dans le onze de départ, dans un rôle d’électron libre axial derrière Gauvin, elle a peu existé en première période, faisant de nouveau preuve de maladresse technique. Mais elle s’est montrée plus inspirée par la suite, comme sur une superbe ouverture pour Diani (59e). C’est elle qui a frappé le coup franc flottant sur lequel Renard relance le suspense (81e). Le Sommer (5)Une nouvelle fois, elle s’est replacée à gauche du milieu de terrain et est donc partie de très loin lors des phases offensives. Longtemps discrète, elle a enfin pu accélérer ballon au pied en début de seconde période. Devant le but, elle a tenté sa chance de la tête (12e et 52e), sans réussite, et a manqué une belle occasion en position excentrée (58e). Sa reprise acrobatique est sortie par la gardienne adverse (79e). On en attendait plus d’une joueuse habituellement si forte. Gauvin (4)Un match bien compliqué pour l’attaquante de Montpellier en pointe. Elle s’est mise en position de frappe à une seule reprise, en étant contrée en début de match (15e). Dans son jeu en pivot, elle s’est montrée peu efficace, noyée dans la charnière centrale adverse. Sortie à la 76e. – 58’ – Eugénie Le Sommer tente sa chance ! Sa frappe n’est pas cadrée…https://t.co/CVAG09iYs8 0 – 1 #FRAUSA #FIFAWWC à suivre en direct sur @tf1 et @MYTF1 !— TF1 (@TF1) June 28, 2019videoDailymotion(« x7c1e0w », « 100% », « 275px »);
Les notes des Bleues: Le Sommer, c'est insuffisant
