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Quand Fekir va, tout va pour l’OL

Football.fr Publié le 03/03/2019 à 19h02, Mis à jour le 03/03/2019 à 19h14 Après trois matches d’absence, Nabil Fekir a notamment signé son retour avec un but dimanche, lors de la large victoire de l’Olympique Lyonnais face à Toulouse (5-1). Son frère Yassin a lui effectué ses grands débuts en Ligue 1. "Son retour est très important, on connaît son impact sur l’équipe." Avant la réception de Toulouse, dimanche après-midi dans le cadre de la 27e journée de Ligue 1, Bruno Genesio n’avait pas caché à quel point Nabil Fekir est essentiel au jeu de l’Olympique Lyonnais.Suspendu face au Barça en Ligue des champions (0-0), le champion du monde avait ensuite manqué la défaite des Gones à Monaco (2-0), puis la victoire contre Caen en quart de finale de la Coupe de France (3-1), en raison d’une béquille subie à l’entraînement.Dimanche, il est apparu particulièrement en forme, et s’est même montré décisif lors de ce succès 5-1 de l’OL, toujours troisième du classement, qui revient ainsi à cinq points des Lillois et prend provisoirement six longueurs d’avance sur ses voisins stéphanois, alors que le TFC reste quinzième. A l’origine de l’ouverture du score de Memphis Depay (10e), il a ainsi offert la cinquième réalisation lyonnaise à Moussa Dembélé (71e), buteur à l’issue d’un raid solitaire quelques instants auparavant (67e).Traoré a cru au doubléL’aîné des Fekir, dont le jeune frère Yassin (21 ans) a effectué ses grands débuts en Ligue 1 (79e), a surtout réussi à faire le break en première période. Après un coup du sombrero sur Christopher Jullien, le capitaine rhodanien s’est fait faucher dans la surface par Yannick Cahuzac, et a transformé son penalty en prenant Baptiste Reynet à contre-pied (35e).Le score était alors de 3-1, Mathieu Dossevi ayant profité d’une erreur de Ferland Mendy pour égaliser (15e), avant que Bertrand Traoré ne redonne l’avantage aux siens (31e). Le Burkinabé qui a bien cru, comme Dembélé, s’offrir un doublé, mais son but a été annulé pour une position de hors-jeu (80e). Pas de quoi gâcher le bonheur de l’OL, qui a même terminé en supériorité numérique après l’expulsion de Cahuzac (83e).

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