25 ans au service de la nation, la Radio CCIBFM+ a soufflé sa 25è bougie d’existence ce mardi 16 juin 2020. Quels que soient les défis liés au financement et dus aux crises qu’a connu le pays, c’est une radio qui a atteint presque sa mission explique Denis Nshimirimana, secrétaire général de la Chambre Fédérale Commerciale et Industrielle du Burundi (CFCIB) dont elle appartient.
Le secrétaire général de la CFCIB s’en félicite du pas déjà franchie dans ses objectifs d’être l’outil, le bras et le fer de lance de la Chambre Fédérale Commerciale et Industrielle du Burundi car ces dernières années elle a pu collecter des recettes consistants à la CFCIB.
Que seraient les défis de la Radio CCIBFM+ ?
Selon Denis Nshimirimana, la Radio CCIBFM+ est une enfant des crises car elle est née dans la période des crises et dernièrement touchée par les problèmes des financements qui seraient dus à la crise de 2015 causant la fermeture de certaines ONGs étrangères ou locales et départ de plusieurs bailleurs des fonds locaux qu’internationaux.
Il regrette du fait que pendant les 25 ans écoulés, sa radio émet toujours dans six provinces du Burundi et quelques parties de l’est de la RDC (Uvira et Bukavu). Toute fois il met son espoir sur les nouveaux dirigeants qui vont essayer de développer le secteur du commerce et la CFCIB.
La première radio privée, quelle serait sa contribution dans le monde journalistique ?
La CCIBFM+ est la première radio privée au Burundi, selon son directeur Jean Jacques Ntamagara, qui dit qu’elle est une radio formatrice car elle a pu donnée l’occasion à de centaines de jeunes journalistes d’apprendre le métier du journalisme et de la communication.
Deuxièmement, elle a donnée l’idée à ceux qui les pouvaient de créer des universités avec comme filière la communication.
La Radio CCIB FM+ a été autorisée à fonctionner sur le territoire burundais le 16juin 1995. Ses programmes sont orientés vers l’autonomisation des entrepreneurs locaux et en particulier vers les jeunes afin de les encourager à créer leur propre affaire. Donc, l’économie est sa ligne directrice.
