Faut-il recourir à la charia pour la réforme des lois soudanaises ? La question est venue s'ajouter aux sujets sur lesquels les leaders de la contestation et ceux du Conseil militaire de transition (CMT) ont du mal à se mettre d'accord.
Le CMT, qui dirige le pays depuis la destitution du président Omar el-Béchir, dit avoir "beaucoup de réserves" sur les réformes proposées par les leaders de la contestation.
Il dit déplorer leur "silence manifeste" sur la loi islamique.