L’information a été confirmée dans un communiqué publié mardi par le ministère de l’éducation nationale.
« Les corps sans vie des deux enseignants ont été inhumés à la demande des parents ce mardi 18 mars », précise le communiqué.
Selon le ministre de l’éducation nationale, l’objectif des ravisseurs est de traumatiser le corps enseignant et surtout les amener à abandonner les postes dans une région, où ils sont régulièrement menacés.
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Les deux enseignants étaient en service dans la circonscription d’éducation de base de la ville de Djibo.
C’est la première fois que des enseignants sont exécutés au Burkina. Depuis 2016, environ 1 135 établissements scolaires ont été fermées pour cause d’insécurité.
Les autorités locales sont également sans nouvelles d’un chauffeur de médecins sans frontières enlevé et un prêtre catholique, disparu depuis dimanche.
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