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Le festival d’art Chale Wote dans la capitale du Ghana

Des artistes, des photographes et des artistes urbains du monde entier ont pris d’assaut les rues de la capitale du Ghana, Accra, pour le festival annuel d’art de rue Chale Wote.

An artist wearing a polythene bag
Image caption L’ artist Jalud Rashid porte un costume fait avec des sacs en polyéthylène pour montrer l’importance du recyclage des déchets plastiques.
Image caption Cette tenue traditionnelle de l’ethnie Ga est connue sous le nom d’Otofo, comme le montre l’artiste Edmond Lartey.
Image caption L’artiste ghanéen Ibrahim Botchwey était l’un de ceux qui peignaient en public …
Image caption Ici, Botchwey a voulu sensibiliser sur le vitiligo, une affection cutanée caractérisée par des taches de peau perdant leur pigment. Les victimes de la maladie ont souvent été discriminées …
Image caption Il a également présenté ce tableau appelant à la protection des enfants afin qu’ils puissent réaliser leur potentiel.
Image caption Les œuvres de Sylvester Otoo reflètent le nom du festival Chale Wote, ce qui signifie littéralement: « Mon ami se laisse aller ». Cela signifie aussi « sandales » au Ghana.
Image caption Gideon Osei Adams a utilisé son costume macabre pour informer les gens de la nécessité d’être humble et respectueux quand vous êtes encore en vie. Quand vous mourrez, il sera trop tard pour corriger tous les torts, a-t-il dit.
Image caption Ne prenez pas la vie trop au sérieux. Prenez le temps et tout ira bien. C’est le message qu’Ishmael Amu a voulu transmettre.
Image caption Une tenue traditionnelle ghanéenne typique portée par des prêtres fétichistes qui dépeignent la capacité de voir au-delà du physique.
Image caption Francis Oko Armah, un jeune militant vêtu d’une tenue unique faite de préservatifs, sensibilise le public sur la propagation du VIH et du sida au Ghana.
Image caption L’artiste ghanéenne Tetebotankali décrit comment le festival d’art de rue a rassemblé différents artistes d’Afrique et d’ailleurs.
Image caption Les œuvres d’art de Muhasim Hamza plongent dans la politique controversée du Moyen-Orient.
Image caption Le sculpteur Stephen Allotey pétrit l’argile jusqu’à ce qu’il ressemble parfaitement à son modèle

Toutes les images sont de Thomas Naadi de la BBC

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